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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 11:12
TF1 diffuse ce soir à 20 h 50, en direct, la demi-finale du télé-crochet « The Voice, la plus belle voix ». Amalya Delepierre fait, avec l'Amandinoise Al. Hy, partie des huit talents retenus pour faire le show. ...
« Maman Panda », comme aiment la surnommer ses camarades en lice, travaille d'arrache-pied sa voix auprès de son coach, Jenifer. Son look à la Nana Mouskouri et sa voix jazzy venue tout droit du gospel font d'elle une potentielle gagnante.
- Comment avez-vous franchi le pas entre votre vie d'étudiante et celle devant la caméra ?
« Avant de débarquer dans l'émission "The Voice", j'ai vécu quatre ans à Tourcoing. J'allais à l'université Lille III pour faire ma licence d'art, parcours études cinématographiques. Auparavant, j'ai vécu dans plusieurs villes de France, mais c'est dans le Nord que j'ai rencontré les personnes qui ont été le déclic pour la suite de ma carrière. »
- À 27 ans, vous avez une « voix insensée », comme l'a souligné votre coach dans l'émission, Jenifer. Le chant a-t-il toujours été présent ?
« Je chante, il est vrai, depuis toute petite, mais à partir de mon arrivée dans le Nord en 2005, j'ai pu m'approcher de cette profession au plus près. Je voulais absolument intégrer un groupe de gospel et c'est par hasard, en voiture à Roncq, que j'ai vu un logo du Gospel Jazz collé sur une autre voiture en face de moi. J'ai pris le numéro et quelques jours plus tard je passais une audition et étais retenue. »
- Vous connaissez donc déjà le monde du spectacle...
« Oui car nous faisions des concerts et des tournées à travers la France et l'Europe. Mais le gospel était vraiment mon élément, dans le sens où je n'étais pas seule devant la lumière. Ici, j'ai trouvé une seconde famille que je n'abandonnerais pour rien au monde. »
- Votre inscription au casting « The Voice » s'est donc faite naturellement ?
« Pas du tout ! Je ne voulais pas participer seule à cette émission. Mais il est vrai que j'avais déjà adhéré au concept en regardant la formule américaine de "The Voice". Le fait de ne juger que la voix, sans voir le candidat, me convenait davantage que les autres émissions musicales. "The Voice" est arrivée en France et pour moi au bon moment. Mes amis du gospel m'ont sollicitée pour que je m'inscrive. J'ai beaucoup hésité et aujourd'hui je ne regrette rien. »
- Ce samedi soir, c'est la demi-finale. Êtes-vous confiante ?
« C'est beaucoup de travail lors des répétitions, mais je vous promets du beau spectacle, en espérant que je passe le cap de la demi-finale. J'ai déjà le privilège de faire partie de la tournée ! Dix-sept dates sont prévues en juin dans les grandes villes de France, dont le 15 juin au Zénith de Lille ! »
- Le Nord n'est donc jamais bien loin de vous, même si vous vivez à Paris dorénavant...
« Le Nord est et sera toujours l'endroit où ma carrière de chanteuse s'est affirmée. Chaque semaine, quand je prépare le "prime", je pense à mes amis du gospel, que je retrouverai le 19 mai pour un concert à Saint-Amand-les-Eaux. Je pense aussi à tous les fans qui me soutiennent, notamment sur les réseaux sociaux. Sans eux, je ne suis rien. » •
Source : La voix du Nord

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 08:14
The Voice, c'est le carton télé de ce début d'année. Le télé-crochet de TF1, qui séduit plus de six millions de téléspectateurs, arrive presque à sa fin. Samedi prochain, le 5 mai, sera diffusée la demi-finale qui verra s'affronter Louis et Atef dans l'équipe de Garou. Coach exubérant, Garou a fait le show durant l'émission, mais il hésite à faire la deuxième saison du programme. Explications !
   
   
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C'est dans les colonnes de Télé Loisirs que Garou, explique que si la deuxième saison de The Voice est annoncée, il n'est pas sûr d'en faire partie : "On en discute, et je peux même vous dire que la production hollandaise voudrait que je participe à l'édition canadienne, mais rien n'est décidé."

Avant de se projeter dans une nouvelle saison, le Québécois attend de mesurer le succès du gagnant : "Je préfère que l'on se concentre sur l'avenir du gagnant. J'ai hâte de savoir si le public va le suivre et acheter son album. Si c'est le cas, j'aurai beaucoup plus de raisons de revenir." Une chose est sûre, si l'un de ses talents remporte le show, Garou sera là pour l'accompagner.

Il poursuit : "Je pense notamment à Louis, un gamin formidable. Je ne supporterais pas qu'on le broie." Il faut dire que Louis est son chouchou, comme il le révèle dans les pages de Télé Star : "Je dois avouer que j'ai un gros faible pour Louis : ce candidat a un timbre, une sensibilité et un talent dingues !" Atef semble lui plus indépendant : "Il sait ce qu'il cherche, je ne sais pas s'il sait ce qu'il veut", déclare Garou dans Télé Loisirs.

Mais tout n'est pas gagné pour ses talents, d'autant qu'il a face à lui des équipes redoutables. Celle qui lui fait le plus peur est d'ailleurs celle de Jenifer, où Amalya et Al.Hy brillent par leur talent.

Interrogé enfin sur les critiques que Patrick Bruel avait énoncées à l'encontre du programme - il avait déclaré : "Cela force l'artiste à se 'vendre' alors que ce devrait être l'inverse ! Je n'ai pas envie de voir une star comme Garou ou Bertignac crier 'Ouais' parce qu'elle a été choisie par un candidat anonyme" -, Garou répond : "C'est toute la beauté de ce jeu ! Écoutez, j'aime beaucoup Patrick, mais je n'ai pas d'ego à ce niveau-là !"

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 11:58
Sur un site marocain, Vigon, candidat éliminé , confie qu'il ne pouvait pas assurer la tournée des 8 finalistes pour des raisons professionnelles.
Vigon évoque également ses projets, dont la participation au Festival Mawazine à Rabbat du 18 au 26 mai prochain et au Mégarama de Casablanca en juin, des contrats qu'il avait signé avant sa participation à The Voice. "Je ne pouvais pas aller plus loin dans l’émission parce que si je faisais partie des 8 finalistes, j’aurais été obligé de faire les 18 concerts au Zénith prévus par la production de l’émission et je n’aurais pas pu respecter mes engagements. C’était préférable de laisser ma place à un chanteur beaucoup plus jeune que moi ", explique-t-il à nos confrères. De là à penser que Louis Bertignac était prévénu de ces engagements, il n'y a qu'un pas.
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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 11:00
Louise, qui a passé une partie de son enfance à La bastide sur l'Hers, chante dans l'émission de TF 1 The Voice. La jeune femme qui revient régulièrement en Ariège, espère intégrer la tournée nationale de l'émission de chant.

« L'Ariège ? J'y suis arrivée à 18 mois et y ai vécu jusqu'à 11 ans…. Je reviens souvent voir ma famille. J'y suis très très attachée. Vous savez, je suis une fille de la campagne. » Loin des strass et des paillettes, c'est très simplement que Louise témoigne de son parcours jusqu'aux plateaux télés. Louise ? à 22 ans, la jeune femme est en train de se faire un prénom sur la sEncadrécène de The Voice, l'émission-concours dédié au chant sur TF1. Membre de l'équipe de Louis Bertignac, elle passe les étapes les unes après les autres.

Rompant avec les clichés, la jeune attachée de presse tient à se présenter sous un jour nature. « Mannequin ? J'ai fait effectivement quelques séances photos pour me faire de l'argent de poche mais ce n'est pas l'essentiel. »
Premières approches musicales

Les racines musicales de Louise plongent en Ariège quand son papa, pharmacien jouait de la guitare à sa maman enceinte. « Ils écoutaient beaucoup les Beatles. C'est là que j'ai eu mes premières approches musicales » confie Louise qui tient à La Bastide-sur-l'Hers, ce coin d'Ariège où la jeune femme aime revenir en famille. « On avait une espèce de restaurant sur l'ancienne route de Belesta. Je me souviens de grands repas familiaux » rapporte encore Louise. Ces premières approches musicales sont devenues des repères : chanson anglaise, old school, ambiance vintage…

Un univers qui a nourri ses premières prestations scéniques dans The Voice.
« Je suis très timide »

« J'ai toujours été très timide. The Voice, en fait, c'est ma première véritable expérience sur scène. Avant je ne chantais que pour ma famille ou mes copines proches. Chanter est quelque chose de très personnel… J'ai l'impression de me mettre à nue » indique Louise. Un jour, elle a franchi le pas sans trop s'en rendre compte. « Un jour, un producteur ami de la famille m'a demandé quel serait mon rêve le plus fou… J'ai dit sans vraiment réfléchir que j'aimerai être sur scène et chanter » rapporte Louise. Et voilà la jeune chanteuse qui se présente au casting de la comédie musicale 1789. « Nous étions 5 000 ! J'ai passé les différentes étapes. Finalement, je n'ai pas eu le rôle espéré. Mais on m'a parlé de The Voice. Quand j'ai su qu'il y avait Louis Bertignac dans le jury, je me suis décidé. » Et voilà comment tout a commencé.
« Immense fierté »

Bien lui en a pris puisque selon le principe de l'émission ce sont les membres du jury qui ont constitué leurs équipes sans voir les candidats. Et l'ex Téléphone a choisi Louise (lire ci-contre).

« J'avais la peur au ventre lors de cette première émission. C'était mon premier concert public contrairement aux autres candidats. Le fait qu'il m'ait choisi a été un immense honneur… Cela avait quelque chose de magique, une très belle alchimie pa rapport à ma sensibilité musicale. »

Aujourd'hui, Louise est à fond dans le concours. « Je ne cherche pas la performance vocale.. S'il n'y a pas d'émotion, cela ne passe pas. » « Avec ce que je fais, je grandis, je m'épanouis personnellement et musicalement » note Louise. Elle puise dans son univers musical 70's, 80's, folk avec des influences jazz pour donner du corps à ses passages. « Les textes sont très importants » pour cette jeune femme influencée par Gainsbourg, Bashung… « Il y a des tonnes de gens qui me suivent, qui croient en moi… Je les remercie de tout l'amour qu'ils m'envoient. Je sens qu'il y a quelque chose qui se passe… » Louise joue sa carte pour tenter d'intégrer les dix derniers candidats qui partiront en tournée à travers toute la France. Pour cela, elle devra franchir un nouveau cap samedi soir. « J'aimerai au moins une fois être sauvée par le public pour avoir sa reconnaissance. »

Et après The Voice ? Moins une fin qu'un début, l'émission lui a déjà permis de rencontrer Louis Bertignac. « J'espère faire un album avec lui. »

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 08:25
À l'invitation de la radio « 47 FM », Stéphan Rizon, le jeune chanteur foulayronnaiscandidat de l'émission de TF1 « The Voice » a mis le feu, au Galion, lundi soir. Ambiance.

Le Galion en fusion, c'est la folie Rizon. De retour au bercail, le chanteur foulayronnais, qui participe à « The Voice » l'émission phare de TF1qui réunit chaque samedi soir plus de 8 millions de téléspectateurs, a éclaboussé la soirée de toute sa classe, son aura et son talent. Sa voix, magique et unique, résonne encore dans les gradins du Galion, à Foulayronnes. Il les a tous mis à genoux. Ou plutôt debout. Veste noire, pantalon beige, tee-shirt tendance (avec les doigts de la victoire imprimés sur le torse, signe prémonitoire ?), regard de braise, voix de cristal, sourire « ultra bright », Stephan Rizon a littéralement électrisé la salle. Hypnotisé l'auditoire. Bluffé l'assistance. Il nous a régalés.

Ce « type » a déjà tout d'un grand. Et en plus, ce qui ne gâte rien, il a tout pour lui. Beau gosse, bon mec, méga talent, du charisme et de l'humour à revendre, tous les ingrédients pour réussir. Et viser encore plus haut.

Durant plus d'une heure, au micro de Mathieu Dal'Zovo, journaliste à « 47 FM », Stephan Rizon s'est livré sans retenue, avec un naturel désarmant, racontant les coulisses de l'émission « The Voice », sa rencontre avec Francis Cabrel, celle encore avec Laurent Delort, son « génial » guitariste, ses relations avec Florent Pagny, son coach et mentor dans l'émission de TF1, sa complicité avec les autres concurrents, son passé, ses projets, son avenir… Tout ce que vous vouliez savoir sur Stephan Rizon, c'était lundi soir à Foulayronnes. Il y aura heureusement une séance de rattrapage, jeudi soir, pour les auditeurs de la célèbre radio lot-et-garonnaise (voir par ailleurs). Quelques morceaux choisis, juste pour vous mettre l'eau à la bouche, la puce à l' oreille. « C'est toujours un plaisir de revenir au pays. Revoir les amis, la famille. Ma maman est drôle, ça ne vous aura pas échappé mais en plus elle cuisine très bien. J'aime revenir à Foulayronnes. » « 2 000 personnes sur le plateau, 8 millions de téléspectateurs, bien sûr que j'ai le trac, chaque samedi soir, en direct. Il est présent au début puis il s'estompe. C'est plus un moteur qu'un frein. » « J'apprécie beaucoup Florent Pagny. Il est franc et sensible. Je suis ravi de son coaching. Il a un seul défaut : il ne supporte pas que je m'assoie à ses côtés. Il n'aime pas les grands (rires) ».
« Heureusement, Florent a buzzé… »

« Ma première audition a été déterminante. Ce soir-là, j'avais trop pensé au lieu de chanter. Ma qualification s'est jouée à quelques secondes. Heureusement, Florent a buzzé… » « Avec les autres candidats, on forme une vraie famille. On vit ensemble le plus gros de la semaine. Atef chante tout le temps et sa voix perce souvent les cloisons de l'hôtel. On ne s'ennuie pas… ». « Je ne travaille jamais les chorégraphies. C'est dans les gênes. J'ai un déhanchement que m'envient Madonna et Beyonce (rires) » « Ma rencontre avec Francis Cabrel a été un accélérateur… ».

Les 400 privilégiés, qui ont rempli le Galion, lundi soir, en ont pris plein les yeux, plein les oreilles. Bon client, Stephan Rizon s'est magnifiquement prêté au jeu, multipliant les impros, interprétant aussi trois chansons en live. Dans l'ordre « Over the rainbow », sacralisé au siècle dernier par Judy Garland, et aussi « Les Portes du pénitencier » de notre Johnny national, en version anglaise - deux morceaux qu'il avait déjà magnifiés lors des dernières émissions de « The Voice » - avant de clôturer sur une compo perso « Big boy », tiré de son premier « 6 titres », devant une salle en délire. Et debout. Frissons et poils hérissés en sus. Merci pour tout !
Samedi, on vote tous pour Rizon !

Pour un peu on se serait cru en campagne électorale. Oui, Stephan Rizon aura besoin de vos votes, samedi soir encore, pour poursuivre l'aventure dans « The Voice », l'émission vedette de TF1. Chouchou des téléspectatrices, qui l'ont plébiscité, ce week-end, après son incroyable interprétation des « Portes du pénitencier », le Foulayronnais s'est ouvert d'autres portes, celles des quarts de finale. Le voilà dans les douze derniers candidats. « L'objectif est largement atteint, souffle l'intéressé. Tout ce qui arrive est du bonus. Je vis chaque instant avec gourmandise. Je vais maintenant essayer d'aller le plus loin possible, sans me prendre la tête… ».

L'émission de samedi sera, à ce sujet, primordiale. Il n'en restera que huit. Deux par coach. Et ces huit-là partiront en tournée, cet été, dans tous les zéniths de France et de Navarre. Stephan espère, évidemment, en faire partie. Pour ce, il a regagné la capitale, hier matin, par le premier train (à 6 h 45). Une dure et longue semaine l'attend, avec en arrivant, premier travail avec le coach vocal sur la chanson choisie, aujourd'hui, interviews pour la presse nationale, jeudi première répétition avec Florent Pagny au piano, vendredi, répétition générale sur le plateau, samedi matin, filage avant le direct du soir. Stephan Rizon y interprétera un nouveau tube planétaire. Il n'a pas le droit de nous dévoiler le titre. Allez, juste un indice : « c'est le nom d'une ville Outre Atlantique ».

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 18:27
L'animateur de The Voice, 50 mn inside, et Après le 20h c'est Canteloup sur TF1, a répondu aux très nombreuses questions des internautes de L'Express. Voici ses réponses.

L'animateur de The Voice, 50 mn inside et Après le 20h c'est Canteloup sur TF1, a répondu aux très nombreuses questions des internautes de L'Express. Voici ses réponses.

thierry: Le 20h, en France, vous y pensez le matin en vous rasant?

 

Nikos ALIAGAS: Faudrait que j'arrête la variété et que je refasse quelques années de news... pour revenir à mon premier amour plus tard... mais je serai trop vieux après non? Mais bon, pour l'instant je suis sur "Après le 20h" avec Canteloup, en même temps on est pas loin non?

fannou: A quel animateur vous identifiez vous? Drucker, l'animateur aimé des stars ou Ardisson, incisif, tranchant et parfois craint?

Nikos ALIAGAS: Je n'ai pas leur talent et je n'aurai pas leur longévité. Les temps ont changé et l'espérance de vie du passage à l'écran aussi. Dix ans à TF1 c'est déjà beaucoup. Mais pour répondre à votre question, j'aimerais bien un mix des deux peut-être, avec une pointe de style "Jacques Martin" qui était le héros tv de mon enfance...

Glad: Ayant une bonne connaissance de la musique et étant une bonne amatrice des belles voix, je trouve que les candidats sont en dessous de la moyenne et ce n'est pas mieux pour les juges. Avez-vous d'autres moyens pour relever le niveau?

Nikos ALIAGAS: Ben écoutez mademoiselle... on aura tout essayé pour vous plaire. Mais là je ne peux pas faire grand chose de plus... je vous embrasse quand même...

evelyne0504: Nikos va-t-il refaire un album prochainement?? Merci.

Nikos ALIAGAS: Why not... tant que ça reste du plaisir et non pas un transfert de carrière, la musique est une passion pas une frustration. Je viens d'enregistrer une chanson en français sur l'album de Lavrentis Machairitsas en Grèce (une reprise de l'un de ses tubes grecs), il est le Bashung grec et il a fait un album de duos avec plusieurs artistes grecs et internationaux dont Zucchero, Adamo, les frères Katsimichas... on m'a informé que ça tournait en playlist à la radio et ça m'a beaucoup amusé.

Barbara: Bonjour Nikos. Quels sont à ton avis les aspects positifs et négatifs de tes deux cultures? Merci beaucoup.

 

Nikos Aliagas: C'est comme ta mère et ton père, tu aimes les deux, chacun différemment et surtout t'as pas le choix, tu n'as pas choisi. J'ai essayé de contruire des ponts entre la Grèce et la France, mes deux pays. En assumant l'un et l'autre. Je suis issu de l'intégration républicaine, mais je n'ai pas renié mes racines. Et ça n'a jamais dérangé personne que mon nom ait une consonance étrangère, j'aime autant la France que la Grèce et j'ai besoin des deux.

mickael1973: Sur les réseaux sociaux, l'émission est souvent très critiquée. Sans oublier des éliminations comme celle de Philippe qui ne passe pas...

Nikos ALIAGAS: Heureusement que chacun exprime son point de vue, on ne peut pas mobiliser 90% des internautes de France et parfois du monde quand nos artistes sont repris en TT mondiaux par exemple sur Twitter et échapper à cela. Ca fait partie du jeu. Et soyons francs et réalistes, avec un tel niveau artistique, il y aura de plus en plus de "déçus" pendant le prime, ceux qui verront leur favori partir plus tôt que prévu. De toute manière il ne restera qu'une voix à la fin, The Voice. Philippe j'en suis certain fera un joli chemin, Sonia Lacen aussi... Leurs voix ne sont pas passées inaperçues.

mickael1973: Rebonjour. On vous sent moins passionné, à la différence de la Star Ac vous êtes très en retrait. Au final, 30 minutes pour les candidats, n'est-ce pas trop long?

Nikos ALIAGAS: L'exercice et le rôle de l'animateur sur #thevoice sont résolument différents. Je suis peut être un peu moins bateleur que sur la Star Ac mais les temps ont changé, la télé aussi et j'ai pris 11 ans de plus. La passion est bien là, mais la sagesse est aussi de la partie. Dans The Voice la star, c'est d'abord la voix.

Small_Tagada: Avez-vous un favori parmi les talents de The Voice?

Nikos ALIAGAS: Il change toutes les semaines... lol

 

mickael1973 : Pourquoi faut-il que les coachs dans The Voice soient tout mielleux avec les candidats?

Nikos Aliagas : Le sont-ils vraiment? L'idée n'est pas d'aller dans le sens du poil ni de casser pour casser. A ce niveau là, la qualité vocale des talents est remarquable, et il est difficile de dire "je n'aime pas ta voix". La critique est constructive, le coach est là pour accompagner non pas pour sanctionner. De plus, depuis la Star Ac les choses ont changé et la perception du public aussi... Il faut être positif sans pour autant vivre dans le monde des Bisounours. Pour preuve, l'évolution de l'émission, plus on avance, moins il reste de talents dans la course.

toul31: Pourquoi ne pas imposer aux candidats de chanter majoritairement en Français?

 

Nikos ALIAGAS: C'est une option. Mais le marché est international et on ne peut pas se couper du reste du monde et surtout du goût musical de nos téléspectateurs qui écoutent tous les genres de musique. Je pense toutefois que le dosage est respecté.

mindie62: Bonjour Nikos je voudrai savoir si vous avez un autre projet de livre avec vos photos qui sont magnifique? et quel portable avez vous pour faire d'aussi belle photo?

 

Nikos ALIAGAS : Merci beaucoup, je suis amateur depuis mon enfance. J'utilise plusieurs appareils, boîtiers Nikon, Canon ou encore vieux Olympus ou le FUJIx100 remis au goût du jour en numérique. Mais la plupart des photos que je poste sur Instagram ou Twitter sont prises directement avec l'Iphone et retravaillées souvent sur Photoshop. J'aime l'instantanéité d'un regard partagé avec des milliers de personnes à travers le monde le temps d'un simple clic; je voudrais bien sortir un autre livre de photos, peut être plus de portraits... mais pour l'instant planning un peu compliqué.

Doroty : Est-ce que vous êtes agacé quand Canteloup vous imite?

Nikos ALIAGAS: Ai je vraiment le choix? Il m'imitait déjà sur Europe1 avant qu'on se rencontre. Franchement c'est bon enfant. Lorsqu' on fait un métier comme le mien ou vous êtes très exposé, la carricature fait partie du voyage. Mais tremble Nicolas, je trouverai quelques casseroles à ressortir le soir... Manu Payet a commencé sa carrière sur Comédie en se moquant de ma pomme à la Starloose Académy... Avec le temps on s'y fait.

kaki: Est-ce qu'il y a des thèmes que vous vous interdisez d'aborder sur Twitter?

 

Nikos Aliagas: J'évite de parler politique, surtout en campagne éléctorale. Ce n'est pas mon rôle. J'évite de me mettre en scène dans ma vie privée, au fond elle n'a rien de vraiment intéressant. Twitter est un medium, pas un but en soi. C'est un lien de partage, pas nécessairement un organe de presse ou de promo.

Fredo: Si votre carrière tv/radio devait s'arrêter demain, à quoi auriez-vous envie de vous consacrer?

 

Nikos ALIAGAS: L'écriture, la musique ou tout simplement reprendre mon métier de journaliste sur le terrain... Ou prof de langues à Paris ou Athènes, je me verrais bien enseigner des cours de littérature grecque du début du XXe, la fameuse génération des années 30, si vous voulez lire du Vénézis Tapez 1, si vous préférez Myrivilis Tapez 2, si enfin vous désirez un auteur plus récent comme Aris Fakinos Tapez 3... Ne vous inquiétez pas, il n'y a pas de sms payant. On ne se débarrasse jamais vraiment de toutes ses manies. Sérieusement la photo m'intéresse énormément. Je ne sais pas si j'ai suffisamment de choses à exprimer via l'objectif pour en vivre, mais passer de l'autre côté est une idée qui me travaille.

Julo: Est-ce qu'il y a des invités qui vous ont énervé sur Europe1?

 

Nikos ALIAGAS: Difficile de citer des noms... Mais c'est vrai que parfois la mauvaise foi est agaçante. Mais je pars du principe que l'auditeur ou le téléspectateur sent les choses, devine entre les lignes. On ne cache finalement pas grand chose avec la langue de bois, le public possède une intelligence inconsciente et se fait un avis très bien tout seul. Pas besoin d'en faire des tonnes, les gens savent pertinemment qui est vraiment celui qui parle.

maya71: Après le 20h c'est Canteloup, 50 minutes inside, The Voice, ce sont des émissions très différentes. Est-ce que vous travaillez différemment sur ces émissions?Avez-vous une préférence?

Nikos ALIAGAS: L'exercice est résolument différent. L'un est une émission de variété formatée à la sauce "concours de chant", l'autre (Canteloup) est un petit journal humoristique qui nécessite beaucoup de précision et une bonne écriture. Enfin, 50m inside est magazine et le rôle de l'animateur (avec Sandrine) n'est finalement que la partie visible de l'iceberg, puisque c'est une équipe de 30 journalistes sous la houlette de Thomas Chagnaud qui travaillent sur le programme depuis plus de cinq ans maintenant. A la base, mon métier est celui de journaliste, c'est comme cela que j'ai commencé il y a 25 ans à RFI. Depuis j'ai fait du chemin, je suis passé à l'animation, mais je considère mon travail comme celui d'un artisan dans les médias. Radio, tv, presse... je ne suis qu'un intermédiaire. La folie d'un gros direct genre The Voice sur un plateau de 2000m2 avec 15 caméras et 2000 personnes est tout aussi grisante et préilleuse qu'une interview à la radio dans la matinale d'Europe1... Samedi je faisais chanter des talents en direct, ce matin je parlais de l'Apologie de Socrate avec l'avocat Jacques Vergès sur Europe1, tout à l'heure je me ferai vanner par Canteloup... j'aime ce paradoxe. Ca me fait avancer et ça me libère des étiquettes.

Julia: Bonjour, Nikos! Beaucoup de bisous de la Russie! Je veux savoir comment la campagne Bringthemback progresse? Le British Museum est-il prêt à faire des concessions?

 

Nikos ALIAGAS: Je ne crois pas que le BM soit encore prêt à accepter l'idée qu'une oeuvre "volée" par Elgin au début du XIXe à la Grèce et revendue illégalement doit être restituée à la Grèce. Les sculptures appartiennent au Parthénon, il faut réunir cette oeuvre vivante qui appartient certes au patrimoine mondial mais qui reste intrinsèquement hellénique. Il faut informer les gens, sensibiliser et rendre les oeuvres volées à leur terre... sans pour aurant dépouiller les musées du monde, le cas du Parthénon est à part. C'est une histoire d'éthique.

Merci à vous tous et à bientôt sur @nikosofficiel, des bises 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 10:03
" Je respecte le décision de Jenifer "
La Genevoise d’adoption se  confie après son élimination, samedi, dans «The Voice». Ses favoris? Atef et Louis.
Beaucoup vous voyaient déjà finaliste. Pensiez-vous quitter l’émission si «tôt»?
Je ne me suis pas posé tant de questions. J’ai vécu cela étape par étape. Pour moi, chaque nouveau stade représentait un risque de départ. Donc, forcément, je m’y attendais.

Quelle a été votre réaction lorsque Jenifer a choisi de sauver Thomas plutôt que vous?
Je respecte sa décision, c’est une question de sensibilité. Je trouve Thomas très talentueux. Et le bonheur des uns ne fait pas le malheur des autres. Ce n’est pas parce que Thomas a été choisi que je me sens moins ­bonne.
Diaporama Sonia Lacen: une Genevoise dans «The Voice»Le candidat censuré de l'émission «The Voice»

Au cours de l’émission, Jenifer a déclaré vouloir retravailler avec vous. En avez-vous parlé ensemble?
Non. Elle a dit cela assez spontanément, avec son cœur. On verra. Moi, je vis vraiment au jour le jour. J’ai la foi en ce qui concerne le futur, avec ou sans Jenifer. Si elle a pensé ce qu’elle a dit, elle est la bienvenue. Sinon, je me suis toujours gérée et battue. Mais c’était une gentille attention.

Avez-vous d’autres projets dans l’immédiat?
Non. J’étais à fond dans l’émission. Maintenant, j’ai besoin de respirer. Je vais laisser les choses se faire naturellement. Je resterai ouverte aux propositions et je prendrai le temps d’étudier ce qui est le mieux pour moi. Le but étant bien sûr de faire un album.

Quels sont vos favoris parmi les candidats qui restent?
Depuis le début, j’aime Atef. J’ai vraiment eu un coup de foudre pour ce personnage. Samedi, j’ai été épatée par Louis. Plus je l’ai vu travailler et plus j’ai été persuadée que c’est un grand artiste et qu’il a un avenir clair comme de l’eau de roche.
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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 08:20
Eliminée par Jenifer lors du 3e prime samedi 21 avril, Sonia Lacen revient sur son aventure et sa participation à "The Voice".
Présentée comme l'une des favorites de la première saison de The Voice, Sonia Lacen a été éliminée samedi soir, lors du 3e prime du télé-crochet phare de TF1, le neuvième épisode. Jenifer, qui la coachait, lui a préféré Thomas tandis que le public avait décidé de sauver Al Hy, pour sa prestation envoûtante de "La Foule" d'Edith Piaf. Sonia Lacen méritait-elle de quitter la compétition à ce stade ? Sur les réseaux sociaux les premières critiques ont fusé sur le côté "too-much" de son comportement.
Cliquez ici !
Elle s'est laissée emporter par l'émotion

Sonia en a-t-elle vraiment fait trop lors de son interprétation de "Russian Roulette" de Rihanna ? A-t-elle été sanctionnée pour son "arrogance" ou sa trop grande assurance lorsqu'elle déclarait récemment lors des battles : «Je veux être la gagnante. Je veux être The Voice.» Après sa défaite, la candidate préférée de Johnny a confié ceci à Cinétélérevue, le magazine belge : «Avec le recul, en regardant les images, j'ai été choquée par mes propos. J'ai dû me laisser emporter par l'émotion.»

Au sujet des battles, Sonia avoue aussi qu'ils ont justement été très durs pour elle. «C'est vraiment bien que ce soit derrière moi. (Rires.) J'étais très stressée. Ce n'est pas quelque chose que j'aime. C'est dur, car je ne suis pas une compétitrice dans l'âme.»

sonia lacen

 

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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 11:04
Chercheur au CNRS de Lyon, Jhony Maalouf, 29 ans, fait par­tie des favo­ris de l'émission « The Voice : la plus belle voix », dif­fu­sée en prime time le samedi soir sur TF1. Candidat chou­chou du public, pour sa voix et son sta­tut de chercheur-chanteur aty­pique, Jhony Maalouf veut gar­der la tête froide mais n'exclut pas de ten­ter un jour une car­rière de chan­teur. Entretien.

Qu'est-ce qui vous a poussé à vous pré­sen­ter à l'émission The Voice ?

En fait, ce n'est pas vrai­ment une démarche per­son­nelle. J'ai été contacté direc­te­ment par l'équipe de cas­ting de l'émission. C'était une demi sur­prise, car il y avait un lien : je pra­tique la musique depuis plu­sieurs années en paral­lèle de mon travail.
Quand avez-vous com­mencé à chan­ter en public ?

J'ai com­mencé très tôt, à l'église, au Liban. Je devais avoir huit ans la pre­mière fois et je chan­tais au sein d'une cho­rale. Ce n'est qu'à par­tir de 2004 que j'ai entamé une véri­table démarche artis­tique, en France. J'ai d'abord chanté au sein d'un pre­mier groupe, « Incase », et depuis 2005 avec « Broadwave » com­posé d'un groupe de potes.
Comment passe-t-on des tubes à essai aux tubes musicaux ?

J'aimerais bien faire des tubes musi­caux ! Mais pour le moment, je n'en suis pas encore là. Blague à part, le lien s'est fait assez natu­rel­le­ment. Je suis cher­cheur contrac­tuel, « post­doc » dans le jar­gon, au CNRS. C'est mon pre­mier métier après mon doc­to­rat en bio­chi­mie, obtenu il y a quatre ans. Et depuis le début de ma thèse, je fais de la musique un à deux jours par semaine. Après une jour­née de tra­vail, je res­sens le besoin d'enchaîner tout de suite avec mon groupe et on joue sou­vent jusqu'à minuit.
Comment parvenez-vous à conci­lier vos deux passions ?

Il n'y a rien d'antinomique, contrai­re­ment à ce qu'imaginent sou­vent les gens. D'ailleurs, dans l'unité où je tra­vaille, il y a de nom­breux artistes ! La science est une acti­vité très réflé­chie : on se demande pour­quoi ça a fonc­tionné et, à l'inverse, pour­quoi ça n'a pas mar­ché. Avec la musique, on arrête de réflé­chir mais comme dans la recherche il faut trou­ver sans cesse de nou­velles idées. Finalement, les deux mondes se com­plètent bien.
Comment vivez-vous le fait de quit­ter l'univers confiné d'un labo­ra­toire pour les lumières d'un pla­teau TV scruté par plu­sieurs mil­lions de téléspectateurs ?

Pour l'instant, je ne me rends pas compte de l'impact de l'émission. La semaine der­nière, j'ai tra­vaillé toute la semaine au labo, avec un emploi du temps amé­nagé pour pou­voir suivre les répé­ti­tions. J'essaye de conti­nuer comme je peux les deux acti­vi­tés. C'est très enri­chis­sant de ren­con­trer des artistes et cela se passe dans des condi­tions grandioses.
Quel regard portent vos col­lègues de tra­vail et votre supé­rieur hié­rar­chique sur votre ascen­sion médiatique ?

Nous sommes tout le temps en contact. Tous les membres du labo­ra­toire sont der­rière moi et mon chef m'encourage non stop. C'est plai­sant mais j'ai besoin de recul car ce sont mes col­lègues qui me font prendre conscience de mon par­cours. Quand je reviens au labo, j'enfile ma blouse et je conserve mes habi­tudes. Je reprends le domaine sur lequel je bosse depuis trois ans : la bio­lo­gie cellulaire.
Envisagez-vous d'arrêter un jour la recherche pour vous consa­crer à la musique ?

Je pense vrai­ment que si j'ai la chance de pou­voir faire de la musique à plein temps, j'essaierai. Ceci dit, même si je ne suis pas encore titu­laire au CNRS, j'aime beau­coup mon métier et je ne veux pas tout aban­don­ner du jour au len­de­main. Néanmoins, la musique c'est for­mi­dable car on touche direc­te­ment les gens. Et si l'occasion m'est don­née d'aller plus loin, je ne bana­li­se­rai pas cette opportunité.
Comment abordez-vous le troi­sième « live » samedi 21 avril ?

Deux des six « live » ont déjà eu lieu. Mais comme chaque « prime », il s'agit de l'étape ultime. C'est une immense res­pon­sa­bi­lité de se pro­duire en direct devant tant de monde. Il faut donc vrai­ment faire les choses bien, en répé­tant sérieu­se­ment pour être capable d'assurer le show.
Et si vous aviez carte blanche, avec quel artiste aimeriez-vous chan­ter en duo ?

Si j'avais l'embarras du choix, je dirais Tori Amos. Avec elle au piano et moi au chant, ce serait vrai­ment le top !

Jhony-Maalouf-de-The-Voice

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 18:21
C'est le 14 août 2011 que la chanteuse franco-marocaine Sofia Gon's nous a quittés, décédée suite à une crise cardiaque à l'âge de 25 ans. Une terrible disparition qui a plongé ses proches dans un profond désarroi. Aujourd'hui, c'est son père Vigon, candidat de The Voice, qui tente de lui rendre hommage et saluer sa mémoire.
   
 A 66 ans, Vigon est le doyen de l'émission. Pour lui, pas question de s'offrir une nouvelle carrière, comme il le dit si bien aujourd'hui dans les pages de Libération, cette carrière, il l'a déjà eue. Il se confie à coeur ouvert et nous parle de la raison pour laquelle il est aujourd'hui dans le télé-crochet à succès de TF1 : sa fille, Sofia.

C'est pendant son enfance au Maroc qu'il a découvert la musique. A 17 ans, il s'envole pour Paris et commence à jouer dans un orchestre pour Michel Jonasz. C'est alors la consécration : un contrat chez Barclay et les premières parties des plus grands : Stevie Wonder, Otis Redding ou encore les Rolling Stones. Puis, en 1978, il s'envole pour Agadir où il reste vingt-trois ans. Aujourd'hui, c'est pour sa fille décédée à l'âge de 25 d'une crise cardiaque, qu'il chante.

"Moi je m'en fous de la carrière, je l'ai déjà eue. Avant j'étais heureux, maintenant je ne suis bien que lorsque je chante", déclare Vigon.

Ce soir, samedi 14 avril, Vigon donnera à nouveau de la voix lors de la deuxième session des lives de The Voice. Il chantera aux côtés de Pia et Aude, dans l'équipe de Louis Bertignac. Continuera-t-il l'aventure The Voice ? Cette aventure qui lui tient tant à coeur pour la seule et unique envie de continuer à honorer sa fille tragiquement disparue. C'est dans la musique qu'il trouve son repos et peut-être aussi, qui sait, qu'il la retrouve un peu.

Emportée à 25 ans d'une crise cardiaque, quatre mois avant la sortie de son premier disque, le Marché des Insolites, - dont nous vous avions dévoilé le clip en compagnie de son papa -, Sofia peut compter sur son père pour l'honorer. La famille a voulu que cet album sorte malgré tout et Vigon fait tout pour que ce dernier soit écouté. "C'est Sofia qui devait prendre la relève", confie Maryse, la femme de Vigon.

Aujourd'hui, Vigon tente de noyer cette catastrophe dans la chanson et on espère que ce candidat à la voix soul, émouvant et touchant, n'est pas près de quitter The Voice...

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